Les amis américains

Ciel de fer, vent gris, les lumières sur le paysage familier du Luberon l'éclairent d'un jour étrange, justement celui où j'ai invité Frank Huyler et son oncle Holbrook Robinson, rencontrés lundi au Mas.
Mon cerveau, peu habitué aux prouesses d'agilité requises par la conversation au long cours en anglais me refuse, comme la veille, le modeste service de fonctionner assez pour jeter quelques paragraphes sur ces pages électroniques. Je file  donc au paddock non sans laisser une photo prise à la chapelle de d'Entraigues, une merveille secrète que nous faisons découvrir à nos amis américains. Demain, je serai d'attaque pour une bonne journée d'écriture, surtout si la pluie me confine au bercail.