La parenthèse s'ouvre sur l'été
Fin de l'année, langueur. Le droit à la paresse conquis, j'installe mon hamac entre les rouages de la machine.
Christine est venue pour la première fois. J'aime me représenter les gens que j'aime dans leur cadre, dit-elle. Moi itou.
Dans notre maison les fondements d'une nouvelle arithmétique sont nés il y a peu : 5 - 2 = 8
(Anne-marie et Didier ont adopté 2 chatons sur les 5 chats de la maisonnée. J'en trouve 5 autres le même jour - deux dalmatiens, deux rapetous et une tigrette). Je finirai vieille dame indigne dévorée par ses chats au milieu d'un labyrinthe de journaux, de livres et de carnets imbibés d'urine, comme ce professeur de français à la retraite rencontrée il y a une éternité déjà. Je n'ai pas suivi la rubrique des faits divers et si elle a défrayé la chronique je n'en ai rien su.