Hubert Nyssen

Avec celui que nous aimons, nous avons cessé de parler

et ce n'est pas le silence.

                      René Char, La parole en archipel

Comments

[B.]

Merci pour ces signaux de fumée dans le ciel électronique. Le manque est une bête aux dents pointues... Heureusement, il y a les livres pour lui coincer les mâchoires.

[Suzon]

Je vous lis aussi en silence et votre annonce m'afflige. Si je vous lis c'est aussi grâce à cet homme dont les mots me prenaient, comme "entre plaisir et nécessité".
Je revois cet antre de grenier et je suis à vos côtés.

[Domi]

Je suis triste et émue. J"avais suivi un lien- lorsque Hubert Nyssen n'a plus écrit dans son carnet journalier- et depuis je viens vous lire chaque soir , j'aime tout ce que vous partagez...Merci

[Véronique]

Je vous suis, moi aussi, depuis longtemps en silence et c'est par Hubert Nyssen - à qui j'avais écrit pour le remercier du choix de la phrase,tirée de "Geneviève" de Jacques Lemarchand (mon grand-oncle),qu'il avait mise en exergue de ses carnets- que j'ai découvert votre blog sur lequel je viens faire des pauses, à la recherche parfois de nouvelles d'H. Nyssen. Nous n'en aurons plus mais René Char a raison, le silence est plein de murmures...

[Nanouche]

Je vous suis depuis longtemps en silence, mais ce soir je pense à vous. Je ne sais plus qui m'a fait découvrir le blog de l'autre, mais 'aime/ais vous lire tous les deux